Pour être vampire ou loup-garou.

Donc comme nous ne voulons pas être envahis de lycans et de vampires (zavez vu sans doute le nombre de places limités), pour valider votre demande, il va vous falloir faire un petit RP de 40 lignes (bah sinon y'aurait trop de monde) sur votre premier repas en temps que tel.
Je vous le rappelle, ce repas est forcément humain.
Il vous faudra décrir vos ressentit.
Un admin viendra vous valider.

Nom &Prénom(s):
Motivations:
RP:

Code:

[font=Georgia][b][color=darkred]N[/color]om &Prénom(s):[/b][/font]
[font=Georgia][b][color=darkred]M[/color]otivations:[/b][/font]
[font=Georgia][b][color=darkred]R[/color]P:[/b][/font]

Nom &Prénom(s): Kalteshertz, Ella

Motivations: Je joue partout des personnages "normaux" de la pom pom girl au méchant gangster en passant par les garces, les Tom et autres du genre. je n'ai pas envie d'aller sur un rpg Twilight -bien que j'aie adoré les livres - mais j'aimerais jouer un vampire car je m'y connais pas mal. x) J'adore lire et j'ai un peu épuisé tout livre sur les vampires. Bref 3615 ma life mais pour changer j'aimerais jouer un vampire Je pense avoir un bon niveau de RP et voilà xD Espérant votre accord, je vous remercie d'avance. H.

RP: Ella ouvrit les yeux. Elle ne savait plus où elle était. Derrière elle, un arbre. Devant, un autre arbre. Une forêt... Elle commença à paniquer quand elle sentit qu'elle n'avait plus sur elle qu'une vieille veste de toile. Elle s'assit rapidement, sa tête lui fit extrêmement mal. Sur elle s'étaient entassées les feuilles. Comment suis-je arrivée là ? Et... DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ? Elle se leva précipitemment, et se sentit vasciller.

- Hé oh, y a quelqu... Aïe !

Du sang coula. Elle s'était mordue la langue. Ella passa doucement son doigt sur ses canines et les trouva anormalement longues... La tête lui tournait. Elle haletait, perdue, seule, affolée... Avisant la veste sombre, et les lambeaux blancs éparpillés non loin, le corps inanimé d'un homme dans la force de l'âge, elle se rappella son histoire comme dans un flash. La fiction dépassait la réalité. Prise dans le tourment, elle plongea son visage dans ses mains fines.

- OH MON DIEU !

Elle se rappela alors qu'avait eu lieu son mariage, avec un homme que lui avaient choisi ses parents. Il était comte et venait d'Allemagne. Un pays très loin de France... Le temps des fiançailles avait été heureux, et les premiers jours du mariage aussi. Elle et sa chauve-souris apprivoisée, Nuit, avaient emménagé dans le grand château et coulaient des jours tranquilles. Ella espérait accoucher d'un garçon dès la première grossesse (1313 on n'oublie pas xD) et se sentait confiante. Sa nouvelle vie lui plaisait beaucoup. Mais un soir de pleine lune, alors qu'elle était à la fenêtre, elle avait vu son nouveau mari, le regard effrayant, ramener un cadavre ensenglanté. Choquée, elle s'était précipitée dans les escaliers pour aller à sa rencontre et avait reconnu sa belle-soeur dans les bras de son meurtrier de mari. Sa gorge avait été tranchée. Elle lui demanda se qu'il se passait mais ne se heurta qu'à un mur de silence. Ella cria, pleura, supplia et soudain, il lui lança un tel regard glacial qu'elle n'avait actuellement que ça à l'esprit. Il pris tous les viens que Charlotte cachait dans sa robe, ses bijoux, et coupa même ses cheveux pour les vendre, tout cela devant les yeux d'Ella. Jusqu'à la dernière perle. Ella avait tourné de l'oeil, sensible comme elle l'était. Quand elle s'était réveillée, elle était ici. Dans cette forêt. Il lui avait malicieusement raconté qu'il était un bandit de grand chemin et qu'il fallait bien qu'elle s'y fasse, mais que de toute façon, maintenant, il devait se charger de la faire disparaître. Il sortit un couteau de sa poche, brusquement. Il allait la tuer, plantant la lame dans son coeur, quand Nuit déboula et s'interposa. Le pauvre animal tomba au sol.

- NOOOOOOOOOOOOOOON !

Le cri d'Ella résonna dans la forêt. Nuit était son amie depuis son enfance, son animal de compagnie, sa confidente... elle ne pouvait pas imaginer qu'elle était vraiment au sol, sans vie. Mue par la rage, Ella ôta doucement le couteau de la petite bête et se retourna face au comte.

- Je vous hais ! hurla-t-elle. Et elle planta l'arme dans son coeur à lui. Il s'écroula sans un bruit.

Ella était morte de chagrin. Elle ne prêtait même plus attention à cet homme horrible, mais était agenouillée près de Nuit. Ses larmes coulaient comme les chutes de la forêt de Quiquanpois et, la fatigue associée à l'émotion, elle s'endormit en serrant le pauvre cadavre de sa petite chauve-souris.

Et voilà que maintenant, elle était devenue un monstre. Qu'allait elle faire ? Ces contes qu'on se racontait au coin du feu... étaient-ils vrais ? Etait-elle... un vampire ?! Toujours est-il qu'il fut impossible de retrouver Nuit. Remuant les feuilles, tout ce qu'elle trouva fut un ruisseau, non loin. Se regardant dedans, elle ne put que constater ses canines démesurées... qui lui rappelaient tristement les petites dents de Nuit. & Son ventre la faisait souffrir. Elle se sentée violée, battue et renforcée à la fois. Sa petite Nuit était morte... Elle avait tué son mari... Mais pourtant, une incroyable énergie l'emplissait... Sauf que : Il fallait manger. Les sentiments se mélangeaient dans sa tête entre haine, angoisse et tristesse. Elle commença à tituber automatiquement vers la lisière. Bientôt, le bord de la forêt fut à vue d'homme. Elle se mit à courir, mais soudain, son nez attrapa une odeur sucrée, douce-amère, en fait, à laquelle elle ne pouvait résister. Elle pila net et se sentit transportée... Impossible de l'ignorer ! Ella quitta le sentier et changea de direction, traversant buissons et se prenant des branches dans les cheveux. Enfin, elle se trouva face à un paysan qui sursauta, apeuré. Pas le temps de réfléchir ni de penser. Elle attaquait déjà sa jugulaire et buvait avidement le précieux liquide rouge. Ella savait qu'elle s'en voudrait toujours mais elle savait aussi que vu comme s'étaient déroulés les évènements, elle n'avait pas le choix. Elle sentit son coeur être transporté de joie, comme dans une euphorie due au vin. Elle aimait ce sang. La puissance affluait en elle et elle ne put retenir un râle de plaisir. Certes, elle n'était plus libre mais dépendante des Hommes et de leur sang. Rien que le rouge sur ses mains la dégoutait. Mais que pouvait-elle faire ? Elle était tout de même heureuse d'être en "vie". Et se sentait si bien... Devait elle se sentir coupable ? Bien qu'elle ne sache rien sur son nouvel état vampirique, elle se doutait qu'elle ne pouvait demander secours à un prêtre en une église. Ni à ses parents, ni à ses amis... En tous cas, elle n'allait certainement pas retourner au château ! Ella fit donc la seule chose à faire : elle cacha le corps sous un arbre et soupira. La vie est dure... Si quelqu'un me fait encore du mal, je le tuerai !

Et maintenant... il fallait fuir...

Oké, tu es acceptée en vampire.

Nom &Prénom(s): Evans John
Motivations: J'aime tout ce qui touche le fantastique depuis que je suis petit, dont les vampires et lycans, bien que je n'ai commencé à vraiment m'intéresser aux loups-garous que très récemment. Et ayant déjà joué des vampires, je me suis dit que jouer un loup-garou pourrait être intéressant ^^
RP:

Tiens, pourquoi n'as-tu pas de daemon ?

Je regardai la personne qui venait de me parler comme si celle-ci était un extraterrestre me parlant en une langue bizarre. Daemon ? Et en quoi était-ce étonnant que je n'en ai pas ? Mes yeux se dirigèrent ensuite sur le lion posté bien sagement à côté de la jeune fille qui venait de me parler. Alors que mes yeux se posaient sur les autres personnes aux alentours, je me rendis compte que toutes les personnes que je voyais avaient aussi chacun un animal plus ou moins sauvages normalement, bien que tous semblaient inoffensifs.
Surprenant sans doutes mon regard interrogateur, la jeune fille me "répondit":


Les animaux que tu voient ce sont des daemons. Tout le monde en a un. Ils reflètent notre personnalité. Et les liens entre les daemons et leurs "maîtres" sont très... Intimes. Ils... enfin non. Nous pouvons communiquer ensemble par télépathie...

Télépathie ?


Et ils comprennent ce qu'on pense ou ce qu'on veut faire sans qu'on ait eu à leur dire.

Je la regardais avec des yeux signifiant que ce qu'elle me disait semblait bien trop gros pour être vrai. Et puis, pourquoi n'en avais-je pas alors ?


Tout le monde en a un, mais ne me demande pas pourquoi tu n'en n'as pas, je n'en sais rien. Ah aufait, je m'appelle Loreleï Roumenov, et toi ?

Je ne lui répondis rien. Je n'avais pas envie de parler. Alors je la vis prendre quelque chose autours de mon coup. Une chaîne, sur laquelle était accrochée une petite plaque en métal, avec écrit dessus un numéro et mon nom. Depuis quand l'avais-je ?


Ca, c'est un autre mystère de cette ville. On ne sait pas pourquoi, mais on ne peut pas les enlever. Et le chiffre dessus, ça veut dire que tu es le 120e à être arrivé à Style Is War.

Loreleï m'expliqua diverses choses sur Style Is War, notamment son histoire, le virus les groupes... Puis arriva la nuit. Elle m'emmena dans un immeuble encore désert de l'Est de l'île, puisque c'est là qu'habitent les Neutres. Et comme c'était le camp que j'avais choisis que je préférais nettement être seul, que de devoir toujours supporter le côté bien trop bavard de Loreleï à mon goût.
Je m'y "installai" donc, après quoi je partis dans l'île, évitant soigneusement le côté Ouest comme me l'avait recommandé Loreleï. Puis, me rappelant qu'elle m'avait dit qu'il y avait une forêt dans le Sud de la ville, je m'y dirigeai. J'y restait pendant toute la fin de l'après-midi, jusqu'à ce que la nuit tombe.
C'était la pleine lune.
Dès que la lune se fit visible à mes yeux, je sentis une douleur aigüe me prendre. J'avais l'impression de me détruire intérieurement. Comme si on venait me déchirer ma peau, puis élargir mes côtes. Je sentis mon visage changer lui aussi. Notamment ma mâchoire qui s'agrandissait... Mon corps changeait entièrement, m'arrachant des cris de douleurs pour le moins nombreux.

Je me réveillais le lendemain matin. Je ne savais pas où j'étais. Mon dernier souvenir étant ma... transformation ? J'eus soudain froid. Et je compris vite pourquoi: je n'avais plus l'ombre d'un habit sur moi. Je me remis vite sur pieds, pensant que rester là entièrement nu ne serait pas la meilleure des idées. Je vis alors mes mains. Ou plutôt mes ongles. Ils étaient incroyablement longs et... pointus. Ils avaient poussés d'un seul coup. Puis, je vis des plaies qui saignaient encore sur différentes parties de mon corps, majoritairement le torse, et sûrement le dos. Pourquoi ?... Alors que j'essayais d'avancer, je me sentis chanceler. J'avais des vertiges, et je dus lutter contre moi-même pour ne pas m'évanouir. Après être arrivé à la lisière de la forêt, je me rendis compte que depuis que je marchais je suivais des traces de pas, bien que dans le sens inverse. Puis j'arrivais à un endroit qui me donna une soudaine envie de vomir. Une personne était étendue, là, par terre. Qui ? Le savoir était impossible. On aurait dit qu'on avait mangé sa chair. Mais d'une façon bestiale, atroce... D'un coup, je me rendis compte que j'avais cette sensation que l'on a lorsque l'on n'avait pas mangé depuis longtemps, et que peu de temps avant on avait mangé un met particulièrement délicieux. Et si ?...
Je me laissais tomber par terre... Non... Je ne pouvais pas... Ca ne pouvait pas être moi... Comment aurais-je put ?... Rien qu'y penser me donnait envie de vomir... Comment aurais-je put faire ça... moi ?
Et puis d'un coup, les paroles de Loreleï me revinrent en tête. Voilà pourquoi je n'avais pas de daemon. Mais.. comment ?
Je me relevais péniblement, et puis vomit, après m'être appuyé contre un arbre.

Nom &Prénom(s): Kagehi Arkanne
Motivations: Cela fait maintenant deux ans que je suis fan de lycanthropes mais vraiment à croc (au point d'être persuadée que je vais me transformer un jour si si je vous jure!!!) Je m'inscris souvent sur les forums pour jouer des lycans donc bon j'ai un peu d'expérience dans ce domaine. Et puis surtout je les aime... Le fait que je puisse jouée une lycan me fait rêver étant donné que je n'en deviendrais probablement jamais une...
RP:


Il était tard. La nuit commençait à tomber. Le soleil déclinait doucement dans le ciel, teintant les nuages de rose, d’orange et de jaune. C’était un spectacle magnifique et je le regardais assise dans une herbe humide et froide. Puis, la lune monta dans le ciel. J’avais l’habitude de la regarder se réveiller mais, cette nuit là, cela ne me plut pas. Alors que la lune apparaissait et que ses premiers rayons se reflétèrent dans mes yeux, une violente douleur me saisit. Vous savez, ces douleurs qui vous transperce l’estomac, vous broie les os et vous arrache un hurlement. C’était ce genre de douleur qui venait de m’atteindre, cette douleur semble à un feu de forêt. Elle se propageait dans mes veines comme le venin se propage dans le sang. J’enroulai mes bras autour de mes côtes, cherchant à atténuer la souffrance qui me dévorait. Je me roulais au sol, me tordais dans tous les sens mais, rien n’y faisait. A ce moment, je souhaitai mourir. Pour la première fois de ma vie je souhaitais vraiment mourir. Mais non, j’étais toujours vivante et ressentais toujours cette horrible brûlure qui s’étendait dans tous mon corps. C’est alors qu’un bruit sourd se fit entendre… un craquement d’os ! Mon corps commença à se déformer, je sentis mes os s’allonger, mon épiderme se recouvrit d’une somptueuse fourrure noire aux reflets bleutés, mes ongles devinrent griffes et mes dents devinrent crocs. Je regardais ma main et suivit son évolution. Elle finit par devenir une patte énorme de loup. Très vite, mes cris de douleurs se transformèrent en grognements tout comme moi d’humaine je me transformais en une créature monstrueuse.



Puis, la souffrance s’atténua, passant du feu à une douce flamme qui titillait mon excitation… et mon appétit. J’étais incapable de réfléchir à ce moment précis. La louve qui venait de se réveiller était maîtresse de mon corps et elle avait faim. Je n’avait qu’une envie : trouver de la nourriture. Je levais ma truffe et humais l’air. Je sentis bien un animal non loin de moi mais cela ne me suffisait pas. Non ! J’avais besoin d’un repas qui se débattrait, dur à attraper si il le fallait. Un repas qui hurle et qui sente la peur. Un repas humain. Je reniflais une nouvelle fois et trouvais enfin une proie qui me plut. Je me dirigeais dans sa direction, galopant le plus vite que je pouvais. Le vent fouettait mon visage et des milliers de senteurs vinrent embêter mes narines. Pourtant, je me focalisais sur une seule d’entre elle. Arrivée à sa hauteur, je freinais, et m’avançais, aplatie au sol, a l’affût du moindre bruit. C’est alors que je les vis. C’était un jeune couple d’adolescents entrain de s’embrasser contre un arbre au beau milieu de la forêt. Il me semblai que le garçon avait les mains sous le haut de la fille mais peu importe. Ce n’est pas ça l’important ni le plus horrible, c’est ce qui suivit.



D’un bon, je me jetai sur le garçon qui n’eut même ma le temps de hurler. Sa tête explosa sous la force de ma machoir. Puis, je commençais mon repas. Je ne sais même plus par qu’elle partie j’ai commencé. Sa chair était tendre, son sang sucré. Un véritable délice. Ce fut sa gorge qui me plut le plus. C’était elle qui avait le plus de saveur. Je n’eux pas beaucoup de temps pour faire tout cela car, très vite, la jeune fille poussa un hurlement d’effroi et de peur. Je l’entendis et je la sentis. Cette peur… elle excitait mes sens, me poussait à chasser. Elle me donnait envie de la traquer, de la pousser à avoir encore plus peur et à la voir savoir qu’elle allait mourir, là, dans cette forêt, dévorée. Je tournai la tête vers elle, la fixant de mes yeux jaunes. Ma bouche et ma truffe étaient recouvertes du sang de son ami et de la chair pendait. Cela devait être un spectacle épouvantable. Pourtant, jamais je ne me suis sentie aussi bien qu’à ce moment. La jeune fille se mit alors à courir. Je lui laissai de l’avance, bien trop heureuse d’avoir enfin ce que je voulais : une proie, dur à avoir et que je devais courser. Lorsque j’estimais avoir assez attendu, je me mis à courir également. Pas à pleine vitesse, si je la rattrapais trop vite, cela n’aurait pas été amusant. Mais je finis tout de même par la rattrapée. La pauvre était épuisée. Le souffle lui manquait, elle titubait et ses jambes refusaient de la porter plus loin. Son allure avait considérablement diminuée. Alors, moi aussi je freinais, marchant tranquillement vers elle. Lorsqu’elle remarqua ma présence, elle se retourna vers moi et tomba au sol. Son expression était magnifique : de l’horreur, de la peur et l’appréhension de ce qui allait lui arriver. Arrivée à un mètre d’elle, je m’arrêtai, la regardai, manquai même de m’asseoir pour continuer à admirer son visage. Mais, la faim me tirailla de nouveau, m’énervant. Alors, je sautai sur elle et elle poussa un ultime cri. J’attaquais directement par la gorge. Son sang était beaucoup moins sucré que celui de son compagnon, dût certainement à des régimes trop fréquents pour lui plaire. Cela me frustra d’avantage et je passais ma colère sur elle, déchiquetant chaque partie de son corps, dévorant certain morceau et en jetant d’autre ici et là. Un bras vola contre un arbre, un pied à cinq mètre de moi, et plusieurs morceau de chair partirent dans plusieurs direction. C’était un véritable massacre. Je ne peux dire combien temps dura cette nuit. Je sais juste qu’après en avoir fini avec cette fille, j’ai oublié ce qui suivit. Lorsque je me suis réveillée le lendemain, j’étais allongée sur mon lit, sous forme humaine, nue… et recouverte de sang. Je me souviens de tout, du goût qu’ils avaient, de l’odeur de la peur, celle de la mort, de l’excitation et du plaisir que j’ai pu ressentir… C’est ce plaisir qui me fait peur. J’ignore si je l’ai ressenti à travers la louve ou si c’était vraiment mes propres émotions.

Validée^^ Bienvenue parmis les loup garou Arkanne!

Merci ^^