Luka E. Steward, ou la vie n'est pas toujours simple...

\\\"Votre identité ! Qui êtes-vous ?\\\"

Nom - Prénom: Luka Era Steward
Un Surnom ?: Luke
Âge en apparence: 15ans, 17 en vrai
Date, et Lieu de Naissance: Londres 15 décembre 1993
Groupe: Néanteur
Pouvoir: Empathie et sorte de voyance
quand elle voit quelqu'un des images s'impose à elle
et lui montre soit passé soit présent soir avenir de la personne.
Daemon (nom, quel animal...):Skaene, un loup des neiges
Numéro (donné par un admin): n°17
Orientation sexuelle: Hétéro

\\\"Vous, votre vie, votre personnage...\\\"

\\\"Votre petite histoire\\\"

(10 lignes minimum. Racontez votre histoire de la manière que vous voulez.)

Mon histoire ne commence pas à ma naissance. Enfin pas réellement. Je pense qu’elle remonte à celle de mon père. Plus précisément un 15 décembre 1974. Il ne neigeait pas à Londres, mais il pleuvait des cordes ou il pleuvait des chiens et des chats, comme disent les anglais. Mon père naquit dans ce genre de manoir que l’on voit dans les films et qui appartiennent à des familles riches, ancien noble. Ma grand-mère ne voulait pas aller à l’hôpital, cela faisait trop banal, c’était pour les gens du peuple. Comme le veut la tradition, mon grand-père donna le premier prénom de mon père, Tom, ensuite ma grand-mère donna le deuxième, Alvis. Mon père s’appela donc Tom Alvis Steward. Ce n’était pas des noms que l’on donnait ordinairement. Non ils étaient nobles, et il fallait que cela ce voit. Mon pauvre père grandit donc dans cette ambiance pleine de faux-semblants et de savoir vivre. Très vite il se désintéressa de la vie mondaine et voulu partir à l’aventure. Pour lui, tout allait bien jusqu’au jour de ses 18 ans. Sa vie était parfaite, entre ses parents qui lui donnaient de l’argent, et lui qui esquivait toute mondanité et tous froufrou. Mais on le présenta à sa future épouse. Epouse qu’il n’avait, évidement, pas choisit. Elle était noble, comme lui. Ironie du sort, elle l’aimait profondément. Fatigué des colères de ses parents, il décida d’accepter ce mariage à demi forcé. Trois mois plus tard il la mit enceinte. Mon père était jeune, il avait encore dix-huit ans. Il voulu que sa femme, donc ma mère, avorte. Mais mes grands parents l’en empêchèrent. Ce ne fut que neuf moi plus tard, lorsque je naquis, que mon père accepta cette réalité, et décida de s’enfuir... Avec moi.

Je naquis le même jour que lui, dix-neuf ans plus tard seulement. Cette fois la capitale anglaise était recouverte d’un manteau blanc. Tout comme mon géniteur, l’hôpital me fut refusé. Les nobles naissent en famille. Pour faire plaisir une dernière fois à ses parents, mon père respecta la cérémonie du nom. Mais il avait une idée bien à lui d’un nom de fille. C’est pourquoi il décida de m’appeler Luka. Mes grands parents essayèrent de le faire changer d’avis, mais il ne ploya pas. J’en suis profondément heureuse, car j’aurais pu me retrouver affublée d’un nom tel que Aliénor ou encore Narcissa. Ma mère quant à elle décida de suivre les mœurs à fond et me donna Era en guise de deuxième prénom. Je fus donc nommée Luka Era Steward. Ma mère, épuisée, tomba malade. Il n’en fallut pas plus pour décider mon père. Il partait. Deux petites semaines après ma naissance, sans en avoir parler, mon père s’en alla pour Paris, moi dans ses bagages. Pourquoi m’avait-il emmené? Sûrement parce qu’il n’avait pas pu m’abandonner à une telle éducation, et aussi parce qu’il m’aimait. Souvent quand il était en colère contre moi, il clamait haut et fort qu’il le regrettait amèrement. Cette remarque me faisait sourire, je savais pertinemment que c’était faux. Il m’éleva dans la pauvreté, mais avec amour. Et puis jeune père qu’il était, il ne savait vraiment pas s’y prendre. Il me raconta un jour être aller voir la voisine, alors qu’il ne parlait pas encore bien français, pour lui demander de lui montrer comment mettre une couche. Cependant il réussit tout de même à me garder en vie.

Les années passèrent. Je grandis. Sans ma mère... J’aimerais bien la retrouver, juste la voir... Papa y veut pas... Il m’a dit que je le ferais toute seul. Soit... Je le ferais seule, mais plus tard. J’étais bilingue, mon père tenant absolument à m’apprendre la langue de shakspeare, plutôt doué à l’école, et je pratiquais un art martial peu connu, le vovinam viêt võ dao. Je ne vécu pas toute mon enfance à Paris. Mais seulement la première partie. C'est-à-dire de 0 à 8 ans. Ensuite je déménageais dans la petite ville de Rambouillet . C’est là que je passais la suite de ma vie. Les rôles s’inversèrent rapidement, et ce fut bientôt à mon tour de prendre soin de mon père. Non il ne buvait pas, non il ne se droguait pas. Mais le fait est qu’il était abominablement maladroit et tête en l’air. Je me sentais très proche de mon père. Notre petite différence d’âge devant jouer pour beaucoup. J’étais plutôt solitaire mais ça c’est parce que je le voulais. Et puis j’avais mon père, cela me suffisait amplement. Mais la vie n’est pas simple, et il a fallut que j’aille à ce fichu concert. Mon père avait accepté que j’y aille seule. De toutes façons il ne savait pas me dire non, et à quinze ans, je savais parfaitement m’occuper de moi-même. Alors je pris le train jusqu’à Lüneburg et assistais au concert.

Le résultat est que je fus l’une des premières à tomber malade. J’étais le numéro 17. Lüneburg... Que de souvenirs. Cette ville qu’on avait dévastée. Sombre paysage plongé dans une triste atmosphère, où régnait la morosité. Je me souviens des immeubles détruits, de la poussière sur le sol balayée par le vent, des arbres morts, du soleil sombre derrière la muraille de béton qui nous empêchait de sortir. De plus là-bas il de faisait pas très chaud. Lüneburg, c’était une ville assez grande, j’avais un appartement avec le strict minimum, Internet, une salle de bain, une télé, la cuisine et un lit. C’était assez dur de vivre. Je me levais souvent tôt et me couchais tard, on planifiais les batailles, évitait de se faire tuer... Je crois que c’est là-bas que j’ai appris le sens du mot «vie».

Je suis assez bizarre comme fille, et si j’aimais bien ma vie, celle là-bas était plutôt sympas. Disons que j’adore me battre, j’adore l’aventure. Et au risque de paraître encore plus folle, le fait de risquer ma vie ne m’importait pas vraiment. J’étais dans le clan des néanteurs. Allez savoir pourquoi. Je n’en sais rien moi-même. Je m’étais liée à pas mal de gens, tout en gardant mes distances. C’est là-bas que je fis la connaissance de celle qui est aujourd’hui ma meilleure amie, Ashanta. C’est là-bas aussi je fis la connaissance de Mathew mon frère de cœur, à la vie à la mort. Le pauvre gosse, il est l’esclave de Strify. Strify... Je sais que mon cœur balance pour lui... Mais... Je vous expliquerais plus tard. Nos petites vies allaient bien là-bas, même si les vivres manquaient, même si les soins manquaient, même si plusieurs d’entre nous perdaient la vie là-bas.

Mais ils ont décidé qu’on n’était pas assez isolés. Alors ils nous on envoyé sur cette île. Papa... Est-ce que tu te débrouilles sans moi? Je garde contact, tu me dis que tout va bien, mais je sais que ce n’est pas vrai.

La vie ici est encore plus dure. Certes les liens sont devenu plus fort, mais je suis loin de toi Papa, et je suis enceinte jusqu’au yeux. Et les vivres manquent. Et je l’aime. Et je veux me battre. Et je veux continuer à vivre. Et la guerre continue... Encore toujours. Car ici le , c’est la guerre.

Strify... J’ai trop honte... Il m’avait capturé un soir. Je l’aimais... Je l’aime... Mais ça je ne veux plus me l’avouer. Il me désirait. Lui aussi m’aime... Mais c’est qu’on ne veut pas se le dire. Si on se l’avait dit, peut être cela ne ce serait pas passez comme ça... Il m’a violé. Et pas qu’une fois. J’ai réussit à m’échapper. Et je me suis rendu compte que j’étais tombé enceinte... Encore plus tôt que ma mère et mon père... Décidément c’est la révolution chez les Steward. J’en ai rien dit à mon père. Même par mail je ne peux pas lui dire. C’est comme ça. Ca fait plus de huit mois maintenant. Je vais bientôt accoucher. Je ne me bats plus...

Mais je n’oublie pas...

Le style, c’est la guerre....

Hein Strify?

Le style c’est la guerre...

\\\"Décrivez-vous psychologiquement et physiologiquement.\\\"

(10 lignes minimum. Décrivez votre caractère, vos manies, vos habitudes, ce que vous aimez ou non, vos qualités, défauts... & votre physique )

Luka n’est pas ce que l’on appelle quelqu’un de sociable, surtout depuis son viol. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle est associable. Elle apprécie d’avoir de la compagnie, mais pas trop. Keane lui suffit parfois amplement. Franche, volontaire (surtout pour se battre), intelligente, elle peut être une alliée précieuse. Mais quand elle n’a pas envie, ou qu’elle a décidé de faire sa passive/blasée bah ça sert à rien d’essayer. Luka est une fille assez complexe, pouvant rire un jour, crier un autre, et ne rien dire le reste du temps. Car elle est plutôt silencieuse, un tantinet renfermée. Elle aime observer le temps qui passe, car elle sait qu’il ne s’attache pas à elle, mais son inquiétude pour son père gâche un peu ce moment. Elle sait que lui vieillit. Elle sait qu’il se doute de quelque chose à propos de l’enfant... Mais Luka est une fille sage, elle ne l’a pas fait parce qu’elle le voulait. Le pire est avenir. Une phrase que la jeune fille connaît maintenant parfaitement. Peu objective, elle se laisse tomber dans le pessimisme à une vitesse alarmante, mais ce n’est pas grave... Enfin elle fait preuve d’un jmenfoutisme actif. Exigeante, elle se laisse parfois allé à des moments de tendresse. Si parfois elle ne vous écoute pas, quand on a besoin d’elle, Luka est là.

La jeune fille regarde maussadement dans le miroir sa triste silhouette longiligne, plongeant ses yeux froids d’un brun sombre dans ceux de la même couleur de son stupide reflet. Ses longs cheveux d’un brun très foncé tombe autour de son cou mince, lui encadrant son visage fin, ne laissant pas apparaître ses petites oreilles. Sa peau pâle ne comporte pas d’imperfections, ne pas vieillir apporte parfois des avantages. Elle hausse ses sourcils longs et étroits et son front large se plisse. Devant son reflet, Luka aborde une expression passive mais pas dégoûtée. Son visage ne lui déplait pas, et elle aime ses yeux ainsi maquillé. Le sourire las qu’elle fait étire ses lèvres plutôt roses et fines, il laisse apparaître sur son menton à l’image de sa mâchoire fine, une ride d’ennui. Ses dents blanches apparaissent lors d’un rapide sourire Une expression de satisfaction peint son visage. Elle regarde ses habits, évidement, ils sont noirs et blancs, un peu comme d’habitude, mais pas toujours. Son allure hostile et provocatrice lui attire souvent des ennuis mais pour rien au monde elle ne s’en séparerait. La jeune fille le sait, elle dégage une aura de sûreté et de fierté pour elle même qui déplait. Son attitude est dure comme le roc elle le sent mais s’en contrefiche. Lorsqu’elle se regarde dans la glace, elle se voit telle que les autres la perçoive. Mal et triste, horrible et froide, dure et franche. Peut-être même folle. Mais les gens ne vont jamais au-delà des apparences. Il ne connaisse pas son cœur. Son petit cœur fragile qui déborde d’amour. Luka passe alors la main dans ses cheveux, geste qu’elle fait plus par habitude que pour se recoiffer réellement, animant plus que nécessaire la scène. La jeune fille voit alors ses bras musclés en face d’elle. Toutes ces années à faire du sport n’avaient pas été inutiles. Luka, contente, détache son regard sombre du miroir qui rendait assez fidèlement son image.

\\\"Dites-moi tout ce que je ne peux voir.\\\"

\\\"Et vous ? En vrai ?\\\"

Vrai prénom/surnom: Math'

Âge (faculatif): 15 ans

Où avez-vous connu le forum ?

Qu'en pensez-vous ? design -

Avez-vous une idée pour l'améliorer ? Moui un new
dsign et new page d'accueil

Personne sur l'avatar: Ellen Page

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\\"CODES\\": OK BY LUKA

Validé^^

» Luka Era Steward[UC]
» Converse Girl's links~Luka E. Steward
» [EVENEMENT] Accouchement de Luka [Lorelei, Luka, Jamie, Jennifer, Tom, Strify]
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» Il est temps de parler... [PV LUKA]